Bonjour et tout d'abord merci à tous et à toutes pour vos précieux conseils et le réconfort que l'on peut trouver sur ce forum.
Nouvelle sur le Forum je ne sais pas trop où poster mon message mais voici ma situation :
En janvier 2008 mon dossier de surendettement était jugé recevable par la BDF ( procédure classique, plan conventionnel...) , or 15 jour après ce premier courrier de soulagement, coup dur, j'en recevais un autre m'informant que le créancier principal faisait appel de la décision et donc que mon sort était désormais remis aux mains du Jex.
Or à ce jour, deux ans après toujours rien ... Inquiète, j'ai contacté le greffe du TGI qui m'a dit que mon affaire ne serait pas traitée avant ... fin 2010 !!! Soit près de 3 ans après le dépôt du dossier (décembre 2007), j'étais anéantie.
Entre temps cependant, et grâce à ce forum, j'ai découvert que finalement ce délais hors normes faisait que certaines de mes dettes tombaient sous le coup de la forclusion ...
En effet, compte tenu de la forte dégradation de ma situation,je précise que je suis seule avec un ado de 16 ans, lors du dépôt de dossier je n'ai eu d'autre solution que de faire stopper tous prélèvements en dehors de la cession sur salaire qui court toujours et ampute mes revenus de près de la moitié .
Le créancier principal, celui qui a fait appel continue donc à se payer tous les mois les 840 euros, somme bien supérieure à la capacité de remboursement estimée par la BDF ...
Cette situation particulière ne me permettait pas comme le préconise pourtant la BDF de verser ne serait-ce que 20 euros aux 6 autres créanciers afin de n'en privilégier aucun. Dans mon cas le créancier principal (Cré..is) se privilégie lui même !
Je récapitule donc , en un peu plus de 2 ans, 0 euros versés aux 6 autres et malgré le harcellement incessants que je vous laisse imaginer, un seul a obtenu une IP pour laquelle j'ai moi même, grâce à l'aide précieuse de José, obtenu un moratoire de 2 ans. Je précise que bien évidemment je me défends seule car ayant des revenus je n'ai pas droit à l'aide juridictionnelle et pas d'argent pour autant pour faire appel à un avocat...
Après deux ans de suspension de paiements je ne fais donc l'objet d' aucune poursuite légale de la part des 5 autres créanciers pour lesquels les (faibles) sommes dà»es entrent dans les critères de la forclusion. Je ne sais donc plus quoi faire aujourd'hui...
Dois-je poursuivre ma démarche auprès de la BDF à savoir défendre mon dossier devant le juge et m'orienter éventuellement vers un plan qui engloberait la totalité de ma dette ? Ou puis-je renoncer (si oui comment ?) et continuer simplement à subir ma cession sur salaire pour les 6 années qui me restent sans oublier la sommes relativement modeste que je devrais régler à l'issue du moratoire. Dans ce cas devrais-je écrire aux créanciers ? Je sais que ce serait 6 années difficiles, où il me faudrait subir la hargne déjà bien active des sociétés de recouvrement mais c'est toujours moins long que 10 ans ou plus...
Que me conseillez vous ? merci de m'éclairer et de me dire tout simplement si oui certaines de ces dettes sont bien forcloses.
Nouvelle sur le Forum je ne sais pas trop où poster mon message mais voici ma situation :
En janvier 2008 mon dossier de surendettement était jugé recevable par la BDF ( procédure classique, plan conventionnel...) , or 15 jour après ce premier courrier de soulagement, coup dur, j'en recevais un autre m'informant que le créancier principal faisait appel de la décision et donc que mon sort était désormais remis aux mains du Jex.
Or à ce jour, deux ans après toujours rien ... Inquiète, j'ai contacté le greffe du TGI qui m'a dit que mon affaire ne serait pas traitée avant ... fin 2010 !!! Soit près de 3 ans après le dépôt du dossier (décembre 2007), j'étais anéantie.
Entre temps cependant, et grâce à ce forum, j'ai découvert que finalement ce délais hors normes faisait que certaines de mes dettes tombaient sous le coup de la forclusion ...
En effet, compte tenu de la forte dégradation de ma situation,je précise que je suis seule avec un ado de 16 ans, lors du dépôt de dossier je n'ai eu d'autre solution que de faire stopper tous prélèvements en dehors de la cession sur salaire qui court toujours et ampute mes revenus de près de la moitié .
Le créancier principal, celui qui a fait appel continue donc à se payer tous les mois les 840 euros, somme bien supérieure à la capacité de remboursement estimée par la BDF ...
Cette situation particulière ne me permettait pas comme le préconise pourtant la BDF de verser ne serait-ce que 20 euros aux 6 autres créanciers afin de n'en privilégier aucun. Dans mon cas le créancier principal (Cré..is) se privilégie lui même !
Je récapitule donc , en un peu plus de 2 ans, 0 euros versés aux 6 autres et malgré le harcellement incessants que je vous laisse imaginer, un seul a obtenu une IP pour laquelle j'ai moi même, grâce à l'aide précieuse de José, obtenu un moratoire de 2 ans. Je précise que bien évidemment je me défends seule car ayant des revenus je n'ai pas droit à l'aide juridictionnelle et pas d'argent pour autant pour faire appel à un avocat...
Après deux ans de suspension de paiements je ne fais donc l'objet d' aucune poursuite légale de la part des 5 autres créanciers pour lesquels les (faibles) sommes dà»es entrent dans les critères de la forclusion. Je ne sais donc plus quoi faire aujourd'hui...
Dois-je poursuivre ma démarche auprès de la BDF à savoir défendre mon dossier devant le juge et m'orienter éventuellement vers un plan qui engloberait la totalité de ma dette ? Ou puis-je renoncer (si oui comment ?) et continuer simplement à subir ma cession sur salaire pour les 6 années qui me restent sans oublier la sommes relativement modeste que je devrais régler à l'issue du moratoire. Dans ce cas devrais-je écrire aux créanciers ? Je sais que ce serait 6 années difficiles, où il me faudrait subir la hargne déjà bien active des sociétés de recouvrement mais c'est toujours moins long que 10 ans ou plus...
Que me conseillez vous ? merci de m'éclairer et de me dire tout simplement si oui certaines de ces dettes sont bien forcloses.