Re : bonjour
Tristesse,
j'hésite entre vous remonter les bretelles ou les chaussettes!
Au diable l'avarice, je vais faire les deux!
Vous avez un enfant, la première chose dont celui-ci ait besoin, c'est d'une maman...pas parfaite, mais présente!
Ensuite, avant de penser au pire côté maladie, il faut attendre patiemment le diagnostic. Ce serait super de ne rien avoir...mais s'il y a quelque chose, c'est un défi supplémentaire à relever... On ne meurt pas, plus, moins... d'un cancer. Mais il faut se battre et positiver pour lui foutre une claque à cette maladie.
Ensuite, ici, on fait même dans les états d'âme, avec tendresse, sans se sentir obligé(e)s. Si on pleure, c'est de frustration le plus souvent, ou parfois en écho à sa propre peine...mais toujours et encore avec tendresse.
Parfois, c'est un vent de colère qui souffle, mais lorsque c'est le cas, c'est toujours avec une tendresse déguisée, selon ce bon vieil adage qui dit que "qui aime bien châtit bien"!
Tristesse, vous traversez des turbulences, mais ce ne sont que des turbulences...le rythme de croisière est quelque part au bout du chemin.
Reprenez-vous, positivez, accrochez-vous à votre fils.
Et passez là à chaque fois que c'est nécessaire, que vous avez besoin de vider votre sac!
Tout cela est très certainement maladroit mais je fais avec moi et mes propres limites, la difficulté d'associer les bons mots, les limites d'un tel échange par écran et claviers interposés...
Tristesse,
j'hésite entre vous remonter les bretelles ou les chaussettes!
Au diable l'avarice, je vais faire les deux!
Vous avez un enfant, la première chose dont celui-ci ait besoin, c'est d'une maman...pas parfaite, mais présente!
Ensuite, avant de penser au pire côté maladie, il faut attendre patiemment le diagnostic. Ce serait super de ne rien avoir...mais s'il y a quelque chose, c'est un défi supplémentaire à relever... On ne meurt pas, plus, moins... d'un cancer. Mais il faut se battre et positiver pour lui foutre une claque à cette maladie.
Ensuite, ici, on fait même dans les états d'âme, avec tendresse, sans se sentir obligé(e)s. Si on pleure, c'est de frustration le plus souvent, ou parfois en écho à sa propre peine...mais toujours et encore avec tendresse.
Parfois, c'est un vent de colère qui souffle, mais lorsque c'est le cas, c'est toujours avec une tendresse déguisée, selon ce bon vieil adage qui dit que "qui aime bien châtit bien"!
Tristesse, vous traversez des turbulences, mais ce ne sont que des turbulences...le rythme de croisière est quelque part au bout du chemin.
Reprenez-vous, positivez, accrochez-vous à votre fils.
Et passez là à chaque fois que c'est nécessaire, que vous avez besoin de vider votre sac!
Tout cela est très certainement maladroit mais je fais avec moi et mes propres limites, la difficulté d'associer les bons mots, les limites d'un tel échange par écran et claviers interposés...