Re : problème avec reste à vivre calculer par banque de france
Bonsoir Imil,
Je viens de découvrir que nous sommes dans une situation à peu près identique...Moi aussi,la gestionnaire ne me laisse que 450 euros par mois pour vivre avec 2 enfants de 19 et 12 ans.
J'attends la réponse de thalie pour m'aider à rédiger un courrier de contestation auprès de la BDF mais je tenais à vous assurer de mon soutien et vous dire également qu'il ne faut pas perdre espoir.
Pour ma part,ça fait 5 ans que ça dure avec comme conséquences morales le stress bien entendu mais également le ras le bol d'être considerée un peu comme une paria de la société ,eh oui,les surendettés sont toujours un peu stigmatisés car "si on en est là c'est qu'on l'a bien cherché,il fallait pas toucher aux crédits à la consommation pour s'acheter des écrans plats ou des séjours à la mer "...sauf que c'est pas mon cas et je pense que la plupart des surendettés également.
Et puis ras le bol également de ne plus avoir de chéquier depuis 5 ans et de "bénéficier" d'une cart visa electron qui lorsqu'elle se bloque pour dépassement de plafond d'1 euro ne me laisse comme seul choix de laisser mes courses dans le supermarché ...avec les regards désaprobateurs des clients qui s'impatientent et de la caissière blasée qui est confrontée de plus en plus à ce problème....Depuis 5 ans que ça dure alors que j'ai une situation sociale correcte (cadre dans le domaine médical),que j'ai bradé mon appartement pour régulariser mes dettes ( à tort pusqu'il me reste encore 60 000 euros ) et que j'ai toujours fait preuve de bonne volonté.
Tout ça pour dire qu'il ne faut surtout pas se laisser faire par une gestionnaire qui s'en fout complètement si on ne peut pas joindre les 2 bouts à la fin du mois,son intérêt à elle c'est de rembourser au plus vite les créanciers...eh bien merde,ils étaient pas si pressés lés créanciers quend ils accumulaient les intérêts au fil des années sur des impayés,ce ne seront pas eux les perdants dans l'histoire c'est certain.
Bon courage encore et à bientôt.