Bonjour à tous,
Vous ne savez pas comme je suis contente d'avoir trouvé ce forum qui pourrait, peut-être, m'éclairer moi aussi, surtout qu'en ce moment je ne sais plus quoi faire.
Comme beaucoup de gens, moi aussi j'ai pensé au suicide. Je suis en procédure de divorce d'avec un mari alcoolique, mais j'ai ma mère à charge et un petit chien
malade qui a besoin de moi. C'est toute ma famille. Je suis d'origine roumaine est française par mariage, il y a 9 ans. J'ai épousé un homme alcoolique, mais qui à
l'époque avait des limites. Depuis 2007 je me bats avec ses démons, car plusieurs hospitalisations à cause des crises de convulsions(délirium trémens). En 2005 on a
déposé un dossier à la BDF, dossier qui a été reçu et résolu. En novembre dernier on a reçu l'ordonnance de clôture de RP et nos dettes ont été effacées. Tout au
début, dans le plan de sur-endettement était comprise une voiture Toyota Yaris qu'on avait acquise en location avec option d'achat et une deuxième, une C2, pareil.
Nous travaillions tous les deux et on s'en sortait assez bien, jusqu'au moment ou mon mari a été viré à cause de son problème d'alcool. Dans le cadre de sur-
endettement on a rendue la voiture C2 et, avec l'aide de la dame de la BDF qui s'est occupé de notre dossier, on a réussi à convaincre la maison de crédit(COFICA-
BAIL) de nous laisser la Toyota pour pouvoir travailler. Moi, je suis assistante de vie auprès des personnes âgées et je travaillais dans une association en CDI, et mon
mari avait commencé à faire de ménage chez des particuliers. Après un an, COFICA a cessé de faire les prélèvements pour la voiture, en nous réclamant une dette
d'environ 1200 euro. Lorsque mon mari leur a téléphoné, ils ont dit qu'on ne faisait plus partie de leurs clients. Mon mari a profité de cette situation, en gardant la
voiture comme si de rien été. Cette situation a commencé me ronger et à plusieurs reprises j'ai essayé de contacter l'organisme de crédit, malgré les menaces de mort
que mon mari me proférait. Impossible de les joindre. La juge qui c'est occupé de notre dossier nous a conseillé de rendre la voiture d'urgence, en sachant qu'on
possédait aussi une 309, mais sans aucune valeur et dans en état pitoyable. D'ailleurs, en mars 2008, mon mari m'a prise la voiture Toyota, la carte grise étant à son
nom et m'a dit de me débrouiller avec la 309 qui était à moi sur la carte grise, mais qui avait besoin de réparations que je ne pouvais point payer. Suite à cette
mésaventure j'ai étais licenciée. En avril 2009 j'ai entamé la procédure de divorce: ras le bol de mensonges, payer injustement tous ses pots cassés(passages répétées
au tribunal pour conduite en état d'ivresse, suspension de permis, annulation), prendre sur moi ses contraventions d'excès de vitesse car conduite sans permis, etc.
Mais la cerise sur le gâteau: Mr détruit la voiture, en rentrant à la maison à minuit, le 29 juin passé, après avoir passé une soirée bien arrosée chez un copain. A 200
mètres de la maison il perd le contrôle de la voiture et heurte de plein fouet un poteau électrique qu'il abîme et qu'il doit, évidemment , payer. à‰tat d'ivresse, assurance
au tiers qu'il ne payait plus, voiture en location. Il aurait pu tuer des gens innocents. Après cinq mois passés à l'hôpital, Mr s'en est sorti avec un handicap mineur mais
qui ne lui permet plus de travailler. En ce moment il est à l'attente de l'AAH. Moi je suis au chômage partiel et je me demande comment je vais m'en sortir, car j'ai co
signé le prêt à COFICA BAIL. Mon avocate me dit qu'elle va essayer de m'aider mais je ne vois pas comment. Ce qui m'intrigue c'est le fait que dans tout ce désastre,
moi je n'ai aucune responsabilité,mais comme on est mariés sous le régime de la communauté, tout peut se retourner contre moi. J'ai fait une demande de logement, car
en réconciliation Mr a refusé le divorce et le logement actuel lui a été attribué. Tant mieux pour moi pour trouver du boulot plus facilement. Mais ce n'est pas tout:
l'épave de la voiture se trouve dans une casse et la note a augmenté considérablement(2000 euro) depuis. On a même reçu une sommation de payer d'un huissier de
justice. Mon mari a réussi à contacter COFICA et envoyer par fax tout ce qu'on avait reçu. Mais moi je vis toujours avec l'épée de Damocles au dessus de la tête,
surtout quand Mr me dit: "laisse faire, de toute façon moi je suis insolvable", puisque Mr ne touche rien. Depuis plus d'un an c'est moi qui paye tout: loyer, EDF, tel, etc.
et tout ça avec le chômage. J'ai été autorisée de déménager il y a un an, mais après son accident, un sentiment inexplicable(pour tout ce qu'il m'a fait subir) de pitié
m'a empêché de le faire. Maintenant je suis son infirmière, sa bonne et son portefeuille, mais j'attends avec fébrilité l'attribution d'un appart pour que je puisse m'en aller
et reconstruire ma vie. Il y a beaucoup de choses a dire, ce n'est qu'une partie de mes misères, et tout ce que je demande est un conseil, que dois'je faire dans une
telle situation pour que je puisse vivre tranquille, même avec un petit salaire, sans être obligée galèrer à l'infinie pour payer les pots cassés de mon futur ex-mari. Est-ce
possible de déposer un nouveau dossier de sur-endettement, en sachant que cette voiture faisait partie du plan? Moi, je pensait faire une lettre au procureur de la
République pour lui expliquer la situation, mais encore une fois ce sentiment de honte et de pitié envers mon mari m'en empêche. Est-ce qu'il y a vraiment une solution,
sans me ruiner définitivement? Une réponse de votre part m'emmènerai du réconfort et j'avoue qu'un ce moment je n'ai besoin que de ça. Bises à tout le monde et à
bientôt.
Vous ne savez pas comme je suis contente d'avoir trouvé ce forum qui pourrait, peut-être, m'éclairer moi aussi, surtout qu'en ce moment je ne sais plus quoi faire.
Comme beaucoup de gens, moi aussi j'ai pensé au suicide. Je suis en procédure de divorce d'avec un mari alcoolique, mais j'ai ma mère à charge et un petit chien
malade qui a besoin de moi. C'est toute ma famille. Je suis d'origine roumaine est française par mariage, il y a 9 ans. J'ai épousé un homme alcoolique, mais qui à
l'époque avait des limites. Depuis 2007 je me bats avec ses démons, car plusieurs hospitalisations à cause des crises de convulsions(délirium trémens). En 2005 on a
déposé un dossier à la BDF, dossier qui a été reçu et résolu. En novembre dernier on a reçu l'ordonnance de clôture de RP et nos dettes ont été effacées. Tout au
début, dans le plan de sur-endettement était comprise une voiture Toyota Yaris qu'on avait acquise en location avec option d'achat et une deuxième, une C2, pareil.
Nous travaillions tous les deux et on s'en sortait assez bien, jusqu'au moment ou mon mari a été viré à cause de son problème d'alcool. Dans le cadre de sur-
endettement on a rendue la voiture C2 et, avec l'aide de la dame de la BDF qui s'est occupé de notre dossier, on a réussi à convaincre la maison de crédit(COFICA-
BAIL) de nous laisser la Toyota pour pouvoir travailler. Moi, je suis assistante de vie auprès des personnes âgées et je travaillais dans une association en CDI, et mon
mari avait commencé à faire de ménage chez des particuliers. Après un an, COFICA a cessé de faire les prélèvements pour la voiture, en nous réclamant une dette
d'environ 1200 euro. Lorsque mon mari leur a téléphoné, ils ont dit qu'on ne faisait plus partie de leurs clients. Mon mari a profité de cette situation, en gardant la
voiture comme si de rien été. Cette situation a commencé me ronger et à plusieurs reprises j'ai essayé de contacter l'organisme de crédit, malgré les menaces de mort
que mon mari me proférait. Impossible de les joindre. La juge qui c'est occupé de notre dossier nous a conseillé de rendre la voiture d'urgence, en sachant qu'on
possédait aussi une 309, mais sans aucune valeur et dans en état pitoyable. D'ailleurs, en mars 2008, mon mari m'a prise la voiture Toyota, la carte grise étant à son
nom et m'a dit de me débrouiller avec la 309 qui était à moi sur la carte grise, mais qui avait besoin de réparations que je ne pouvais point payer. Suite à cette
mésaventure j'ai étais licenciée. En avril 2009 j'ai entamé la procédure de divorce: ras le bol de mensonges, payer injustement tous ses pots cassés(passages répétées
au tribunal pour conduite en état d'ivresse, suspension de permis, annulation), prendre sur moi ses contraventions d'excès de vitesse car conduite sans permis, etc.
Mais la cerise sur le gâteau: Mr détruit la voiture, en rentrant à la maison à minuit, le 29 juin passé, après avoir passé une soirée bien arrosée chez un copain. A 200
mètres de la maison il perd le contrôle de la voiture et heurte de plein fouet un poteau électrique qu'il abîme et qu'il doit, évidemment , payer. à‰tat d'ivresse, assurance
au tiers qu'il ne payait plus, voiture en location. Il aurait pu tuer des gens innocents. Après cinq mois passés à l'hôpital, Mr s'en est sorti avec un handicap mineur mais
qui ne lui permet plus de travailler. En ce moment il est à l'attente de l'AAH. Moi je suis au chômage partiel et je me demande comment je vais m'en sortir, car j'ai co
signé le prêt à COFICA BAIL. Mon avocate me dit qu'elle va essayer de m'aider mais je ne vois pas comment. Ce qui m'intrigue c'est le fait que dans tout ce désastre,
moi je n'ai aucune responsabilité,mais comme on est mariés sous le régime de la communauté, tout peut se retourner contre moi. J'ai fait une demande de logement, car
en réconciliation Mr a refusé le divorce et le logement actuel lui a été attribué. Tant mieux pour moi pour trouver du boulot plus facilement. Mais ce n'est pas tout:
l'épave de la voiture se trouve dans une casse et la note a augmenté considérablement(2000 euro) depuis. On a même reçu une sommation de payer d'un huissier de
justice. Mon mari a réussi à contacter COFICA et envoyer par fax tout ce qu'on avait reçu. Mais moi je vis toujours avec l'épée de Damocles au dessus de la tête,
surtout quand Mr me dit: "laisse faire, de toute façon moi je suis insolvable", puisque Mr ne touche rien. Depuis plus d'un an c'est moi qui paye tout: loyer, EDF, tel, etc.
et tout ça avec le chômage. J'ai été autorisée de déménager il y a un an, mais après son accident, un sentiment inexplicable(pour tout ce qu'il m'a fait subir) de pitié
m'a empêché de le faire. Maintenant je suis son infirmière, sa bonne et son portefeuille, mais j'attends avec fébrilité l'attribution d'un appart pour que je puisse m'en aller
et reconstruire ma vie. Il y a beaucoup de choses a dire, ce n'est qu'une partie de mes misères, et tout ce que je demande est un conseil, que dois'je faire dans une
telle situation pour que je puisse vivre tranquille, même avec un petit salaire, sans être obligée galèrer à l'infinie pour payer les pots cassés de mon futur ex-mari. Est-ce
possible de déposer un nouveau dossier de sur-endettement, en sachant que cette voiture faisait partie du plan? Moi, je pensait faire une lettre au procureur de la
République pour lui expliquer la situation, mais encore une fois ce sentiment de honte et de pitié envers mon mari m'en empêche. Est-ce qu'il y a vraiment une solution,
sans me ruiner définitivement? Une réponse de votre part m'emmènerai du réconfort et j'avoue qu'un ce moment je n'ai besoin que de ça. Bises à tout le monde et à
bientôt.