B
Re : Quelles solutions possibles après une injonction de payer?
Me voici de retour, plus tôt que prévu !
Oui, j'avais bien réalisé que nous sommes samedi ! Mais peut-être pouvez-vous l'appeler lundi ?
Si vous voulez bien, on va rentrer un peu plus dans le détail, pour essayer de mieux comprendre ensemble :
si je résume la situation (et, bien sà»r, c'est pour que vous corrigiez si je me trompe !), et "j'italique" mes questions :
- rachat de crédit effectué en 2003, arrivant à échéance en 2 011
- premiers incidents de paiement en 2 005
- ensuite, que s'est-il passé pour qu'il y ait des saisies sur salaire ? Un titre exécutoire émanant de qui, et pourquoi ?
la répartition me semble en tout cas bizarre : pourquoi certaines sommes saisies, et d'autres pas ?
- plusieurs impayés des 700 € restant dà»s, et non saisis
- arrêt des versements dès début 2 008 (cela fait donc plus de 18 mois)
- dépôt d'un dossier de surendettement. Quand ? Et surtout, que s'est-il passé dans ce délai ?
- dossier jugé recevable par la commission de surendettement
- recours d'un créancier (ou de l'unique créancier ?) contre cette recevabilité
- irrecevabilité prononcée par le JEX le 8 Juin, et dans la foulée injonction de payer.
Est-ce bien ça ?
Je vous ai déjà posé les autres questions, mais ce que je ne comprends vraiment pas c'est pourquoi vos parents ne se sont pas opposés à cette injonction.
Ils avaient un mois pour le faire. Et c'est pour ça que je me suis permis de dire qu'il n'y avait plus grand chose à faire.
La seule possibilité, désormais, serait une procédure judiciaire... Mais là , ça mérite réflexion, et il faut bien sà»r avoir tous les éléments en main.
Parce que le risque (réel, et je ne vois guère d'autre solution, à moins que vos parents aient une autre explication), c'est qu'on les oblige à vendre leur maison, voire qu'on la leur saisisse et qu'on la vende aux enchères, au terme des 24 mois.
Voilà !
J'ai conscience que je ne vous annonce pas des bonnes nouvelles, et, croyez_moi, j'aurais préféré qu'il en soit autrement !
Mais il vaut mieux que vous le sachiez, et que vous preniez les meilleures dispositions le plus rapidement possible. Mine de rien, pour ce genre de situation, 24 mois, ça passe très très vite !
Bon courage !
Me voici de retour, plus tôt que prévu !
Oui, j'avais bien réalisé que nous sommes samedi ! Mais peut-être pouvez-vous l'appeler lundi ?
Si vous voulez bien, on va rentrer un peu plus dans le détail, pour essayer de mieux comprendre ensemble :
si je résume la situation (et, bien sà»r, c'est pour que vous corrigiez si je me trompe !), et "j'italique" mes questions :
- rachat de crédit effectué en 2003, arrivant à échéance en 2 011
- premiers incidents de paiement en 2 005
- ensuite, que s'est-il passé pour qu'il y ait des saisies sur salaire ? Un titre exécutoire émanant de qui, et pourquoi ?
la répartition me semble en tout cas bizarre : pourquoi certaines sommes saisies, et d'autres pas ?
- plusieurs impayés des 700 € restant dà»s, et non saisis
- arrêt des versements dès début 2 008 (cela fait donc plus de 18 mois)
- dépôt d'un dossier de surendettement. Quand ? Et surtout, que s'est-il passé dans ce délai ?
- dossier jugé recevable par la commission de surendettement
- recours d'un créancier (ou de l'unique créancier ?) contre cette recevabilité
- irrecevabilité prononcée par le JEX le 8 Juin, et dans la foulée injonction de payer.
Est-ce bien ça ?
Je vous ai déjà posé les autres questions, mais ce que je ne comprends vraiment pas c'est pourquoi vos parents ne se sont pas opposés à cette injonction.
Ils avaient un mois pour le faire. Et c'est pour ça que je me suis permis de dire qu'il n'y avait plus grand chose à faire.
La seule possibilité, désormais, serait une procédure judiciaire... Mais là , ça mérite réflexion, et il faut bien sà»r avoir tous les éléments en main.
Parce que le risque (réel, et je ne vois guère d'autre solution, à moins que vos parents aient une autre explication), c'est qu'on les oblige à vendre leur maison, voire qu'on la leur saisisse et qu'on la vende aux enchères, au terme des 24 mois.
Voilà !
J'ai conscience que je ne vous annonce pas des bonnes nouvelles, et, croyez_moi, j'aurais préféré qu'il en soit autrement !
Mais il vaut mieux que vous le sachiez, et que vous preniez les meilleures dispositions le plus rapidement possible. Mine de rien, pour ce genre de situation, 24 mois, ça passe très très vite !
Bon courage !