Bonjour,
Je parcours votre forum qui est un réconfort... Je résume ma situation : mon mari a perdu son emploi en mai (rupture conventionnelle à la demande de son employeur, qui l'a poussé à bout jusqu'à ce qu'il accepte pour éviter de le licencier), et là nous ne nous en sortons plus. Les charges dépassent les rentrées d'argent, même s'il bénéficie de l'ARE et que je suis salariée en CDI.
J'ai donc fait un courrier pour une demande de délai de grâce sur mon crédit immobilier auprès du TI, en référé. Le dossier est entre les mains de l'huissier, qui vérifie une dernière fois que tout est en ordre. Je passe par cette étape avant de devoir poser un dossier de surendettement. J'ai trop peur qu'on me force à vendre notre maison, donc je tente une alternative car notre souci financier vient uniquement du prêt immo qui nous étrangle pour le moment. (découvert de 1500€, crédit à 1500€ par mois, dont le prélèvement pour août a été rejeté par la banque)
Mais je n'arrive pas à trouver de témoignage concernant le déroulement même de l'audience en référé : l'avocat de la banque va t'il m'attaquer en disant que je suis nulle et demander au juge de refuser ma demande? (suite à d'énormes difficultés en 2015 (auto entrepreneurs, cessation d'activité et aides caf et pole emploi dûes en 2015 versées en juin 2013...donc 0€ de revenus pendant 4 mois), notre prêt avait été suspendu pour 10 mois, le temps de revenir à une situation normale mais cette perte d'emploi déséquilibre notre budget et le découvert se creuse. Nous avions pourtant retrouvé une situation normale... la banque utilisera certainement cette histoire contre nous...)
Nous souhaitons un délai de grâce afin de prendre ce temps pour épargner et ainsi avoir les fonds nécessaires pour régler notre dû sans souci à la fin du moratoire. Notre but étant que dès que mon mari retrouve un CDI, nous puissions renégocier notre prêt pour en diminuer les mensualités. Nous en avions fait la demande mais il a perdu son emploi entre temps et la banque nous a fermé la porte au nez...(logique, ceci dit)
Du coup, en référé, l'avocat adverse va t'il plaider pour le refus de ma demande? Ces demandes aboutissent-elles en général ou Est-ce rare? et le juge donne t'il sa décision en fin de séance ou faut-il attendre? Dans mon cas, si je saisis le référé c'est que vraiment je n'ai plus de délai...
Je suis un peu un désespoir et peine à trouver soutien et réponses...
en espérant ne pas m'être trompée d'endroit pour poster mon message, bonne fin de journée à vous!
Je parcours votre forum qui est un réconfort... Je résume ma situation : mon mari a perdu son emploi en mai (rupture conventionnelle à la demande de son employeur, qui l'a poussé à bout jusqu'à ce qu'il accepte pour éviter de le licencier), et là nous ne nous en sortons plus. Les charges dépassent les rentrées d'argent, même s'il bénéficie de l'ARE et que je suis salariée en CDI.
J'ai donc fait un courrier pour une demande de délai de grâce sur mon crédit immobilier auprès du TI, en référé. Le dossier est entre les mains de l'huissier, qui vérifie une dernière fois que tout est en ordre. Je passe par cette étape avant de devoir poser un dossier de surendettement. J'ai trop peur qu'on me force à vendre notre maison, donc je tente une alternative car notre souci financier vient uniquement du prêt immo qui nous étrangle pour le moment. (découvert de 1500€, crédit à 1500€ par mois, dont le prélèvement pour août a été rejeté par la banque)
Mais je n'arrive pas à trouver de témoignage concernant le déroulement même de l'audience en référé : l'avocat de la banque va t'il m'attaquer en disant que je suis nulle et demander au juge de refuser ma demande? (suite à d'énormes difficultés en 2015 (auto entrepreneurs, cessation d'activité et aides caf et pole emploi dûes en 2015 versées en juin 2013...donc 0€ de revenus pendant 4 mois), notre prêt avait été suspendu pour 10 mois, le temps de revenir à une situation normale mais cette perte d'emploi déséquilibre notre budget et le découvert se creuse. Nous avions pourtant retrouvé une situation normale... la banque utilisera certainement cette histoire contre nous...)
Nous souhaitons un délai de grâce afin de prendre ce temps pour épargner et ainsi avoir les fonds nécessaires pour régler notre dû sans souci à la fin du moratoire. Notre but étant que dès que mon mari retrouve un CDI, nous puissions renégocier notre prêt pour en diminuer les mensualités. Nous en avions fait la demande mais il a perdu son emploi entre temps et la banque nous a fermé la porte au nez...(logique, ceci dit)
Du coup, en référé, l'avocat adverse va t'il plaider pour le refus de ma demande? Ces demandes aboutissent-elles en général ou Est-ce rare? et le juge donne t'il sa décision en fin de séance ou faut-il attendre? Dans mon cas, si je saisis le référé c'est que vraiment je n'ai plus de délai...
Je suis un peu un désespoir et peine à trouver soutien et réponses...
en espérant ne pas m'être trompée d'endroit pour poster mon message, bonne fin de journée à vous!
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